Aujourd'hui j'ai envie de te parler d'une vieille copine. Elle m'accompagne depuis mes 13 ans mais sa voix a trouvé écho dans mon coeur il y a bien plus longtemps.
Voulant me trouver une activité extra-scolaire quand j'avais six ans, ma mère qui voulait que je me dépense (oui, j'étais déjà un peu rondouillette^^) pensa à me faire faire de la gym (beuârk!). Et c'est marrant parce que je me souviens à peu près de la conversation que nous avions eu à l'époque (pas autant que ma mère pour qui ce fut un moment d'anthologie)
Maman : tu veux que je t'inscrives à la gym ?
Moi : Hein ?! mais c'est trop dur la gym pour une p'tite pépette comme moi ! ... Pis d'abord, moi c'est d'la musique que j'veux faire !
Maman (plutôt amusée par mon envie soudaine, et un peu dubitative) : Ah oui, et tu sais sans doute de quel instrument tu veux jouer ?
Moi : Oui, de la clarinette !
Voulant me trouver une activité extra-scolaire quand j'avais six ans, ma mère qui voulait que je me dépense (oui, j'étais déjà un peu rondouillette^^) pensa à me faire faire de la gym (beuârk!). Et c'est marrant parce que je me souviens à peu près de la conversation que nous avions eu à l'époque (pas autant que ma mère pour qui ce fut un moment d'anthologie)
Maman : tu veux que je t'inscrives à la gym ?
Moi : Hein ?! mais c'est trop dur la gym pour une p'tite pépette comme moi ! ... Pis d'abord, moi c'est d'la musique que j'veux faire !
Maman (plutôt amusée par mon envie soudaine, et un peu dubitative) : Ah oui, et tu sais sans doute de quel instrument tu veux jouer ?
Moi : Oui, de la clarinette !
Ne me demandez pas pourquoi ni comment, où j'avais entendu de la clarinette, comment m'était venue l'idée...je n'en sais absolument rien. Le fait est, que c'était ça ou rien. Nous voilà donc parties pour l'école de musique cantonale. Premier problème : à six ans, on a tendance à avoir des dents en moins...la faute à cette connasse de petite souris ! Et pour jouer de la clarinette, on a besoin des dents du haut pour mordre le bec, le tenir, et de celles du bas pour le poser..et faut que tout ça tienne bien. Résultat, j'ai commencé par un an de flûte à bec...et je n'en garde pas un si mauvais souvenir (à part ma première audition...franchement pétée de trouille devant tous ces gens, pour jouer un morceau de 30 secondes!).
Arrivée en CE1, on passe aux choses sérieuses : je récupère enfin l'objet de mes désirs, que ma mère loue à l'école de musique. J'en sue, j'en bave, ça pèse quinze tonnes ce truc qui fait plus de la moitié de ma taille (66cm de clarinette pour 1m16 de gamine!) : j'ai du mettre pas loin de quatre mois avant de sortir trois notes potables de ce morceau d'ébène. Toute ma famille était derrière moi. Toute sauf ma frangine alors âgée de 6 mois, qui, à l'instar de ces chiens qui hurlent à la mort, se mettait à pleurer dès que j'essayais de jouer, quand bien même fût-ce à l'autre bout de la maison (vous pensez que les bébés entendent les ultrasons?). Ça me vexait énormément.
J'étais déjà fainéante à l'époque (hé oui!) et je ne bossais pas toujours les exercices que m'avait donné Eric. Du coup quand j'allais à mon cours, il me faisait des remontrances. Combien de lundi soirs suis-je rentrée à la maison et ai-je balancé à ma mère, avec mon air renfrogné "Eric m'a grondée, j'en ai marre, j'veux plus y aller". Et ma mère de répliquer "Ah non, hein, j'ai payé le trimestre tu le finis!" et à la fin du trimestre, il n'était plus jamais question d'arrêter. De trimestres en trimestres j'ai continué. Clarinette le lundi, solfège le mardi, orchestre à vents un vendredi sur deux.
Vers l'âge de neuf ans (ou peut-être dix?) j'ai commencé à essayer de jouer d'oreille des morceaux que je connaissais et à me faire un peu plus plaisir en jouant. Et puis, arrivée au collège, j'ai fait des stages de musique l'été "et ça c'était trop fun!"..euh, oups! Ces stages m'ont fait énormément progresser, et puis j'y ai rencontré, en dehors du collège, celle qui devait devenir ma meilleure amie. La zHériss joue de la flûte traversière, dans MON école de musique. a partir de là, je me suis éclatée en musique. Je prenais plaisir à travailler vingt, cinquante fois, le même passage compliqué d'une étude, d'un morceau de Mozart.
J'attendais avec impatience les vendredis soir d'orchestre, où nous ne jouions pas des morceaux passionnants mais où Eric nous régalait de son humour cynique, et de contrepèteries musicales. J'avais plaisir aussi à le retrouver lui, le prof de clarinette, le prof de solfège, le directeur de l'école, le chef d'orchestre. Il m'a vue grandir, il est devenu un ami de la famille (un peu par la force des choses..mon frère puis ma sœur ont fréquenté, et elle fréquente encore, son établissement...donc ça fait plus de quinze ans que ma mère se pointe là-bas plusieurs fois par semaine, et plus de cinq qu'elle prend part à la présidence de l'association). A l'orchestre, quand M, qui jouait de la clarinette basse, se fit trop souvent absente pour pouvoir être là aux concerts (elle faisait ses études ailleurs), j'eus l'honneur de reprendre sa place. Eric me prêta donc la clarinette basse. J'ai alors découvert de nouvelles sensations. Le même instrument, mais plus grave, plus puissant, plus vibrant..bon, c'est sur que pour jouer une descente de basse et des noires/blanches..ce n'était pas le grand frisson.
Arrivée en CE1, on passe aux choses sérieuses : je récupère enfin l'objet de mes désirs, que ma mère loue à l'école de musique. J'en sue, j'en bave, ça pèse quinze tonnes ce truc qui fait plus de la moitié de ma taille (66cm de clarinette pour 1m16 de gamine!) : j'ai du mettre pas loin de quatre mois avant de sortir trois notes potables de ce morceau d'ébène. Toute ma famille était derrière moi. Toute sauf ma frangine alors âgée de 6 mois, qui, à l'instar de ces chiens qui hurlent à la mort, se mettait à pleurer dès que j'essayais de jouer, quand bien même fût-ce à l'autre bout de la maison (vous pensez que les bébés entendent les ultrasons?). Ça me vexait énormément.
J'étais déjà fainéante à l'époque (hé oui!) et je ne bossais pas toujours les exercices que m'avait donné Eric. Du coup quand j'allais à mon cours, il me faisait des remontrances. Combien de lundi soirs suis-je rentrée à la maison et ai-je balancé à ma mère, avec mon air renfrogné "Eric m'a grondée, j'en ai marre, j'veux plus y aller". Et ma mère de répliquer "Ah non, hein, j'ai payé le trimestre tu le finis!" et à la fin du trimestre, il n'était plus jamais question d'arrêter. De trimestres en trimestres j'ai continué. Clarinette le lundi, solfège le mardi, orchestre à vents un vendredi sur deux.
Vers l'âge de neuf ans (ou peut-être dix?) j'ai commencé à essayer de jouer d'oreille des morceaux que je connaissais et à me faire un peu plus plaisir en jouant. Et puis, arrivée au collège, j'ai fait des stages de musique l'été "et ça c'était trop fun!"..euh, oups! Ces stages m'ont fait énormément progresser, et puis j'y ai rencontré, en dehors du collège, celle qui devait devenir ma meilleure amie. La zHériss joue de la flûte traversière, dans MON école de musique. a partir de là, je me suis éclatée en musique. Je prenais plaisir à travailler vingt, cinquante fois, le même passage compliqué d'une étude, d'un morceau de Mozart.
J'attendais avec impatience les vendredis soir d'orchestre, où nous ne jouions pas des morceaux passionnants mais où Eric nous régalait de son humour cynique, et de contrepèteries musicales. J'avais plaisir aussi à le retrouver lui, le prof de clarinette, le prof de solfège, le directeur de l'école, le chef d'orchestre. Il m'a vue grandir, il est devenu un ami de la famille (un peu par la force des choses..mon frère puis ma sœur ont fréquenté, et elle fréquente encore, son établissement...donc ça fait plus de quinze ans que ma mère se pointe là-bas plusieurs fois par semaine, et plus de cinq qu'elle prend part à la présidence de l'association). A l'orchestre, quand M, qui jouait de la clarinette basse, se fit trop souvent absente pour pouvoir être là aux concerts (elle faisait ses études ailleurs), j'eus l'honneur de reprendre sa place. Eric me prêta donc la clarinette basse. J'ai alors découvert de nouvelles sensations. Le même instrument, mais plus grave, plus puissant, plus vibrant..bon, c'est sur que pour jouer une descente de basse et des noires/blanches..ce n'était pas le grand frisson.
Et puis vint le lycée, et la participation à un nouvel orchestre (toujours avec Eric, évidemment) qui regroupait les élèves clarinettistes de trois écoles de musique. Nous étions seize; deux basses. L'autre fille qui jouait de la basse porte le même prénom que moi..ce qui avait tendance à nous déclencher de sérieux fous rires quand l'une des deux se plantait, il suffisait de dire "C'est pas moi,c'est Zou!" Là c'était un autre niveau, beaucoup plus technique (bon pas autant que le type de Quadro Nuevo qui fait du didjéridoo avec sa basse, c'est sûr!).
A mon entrée en seconde, je devais découvrir un autre aspect de la musique. Le lycée donc, mais aussi pas d'équipe de hand en UNSS...et pas franchement envie de jouer en club et rajouter ce trajet supplémentaire à ma mère qui ne passait déjà pas un jour sans avoir à prendre sa voiture.
Elle allait deux mercredis soir par mois à un atelier de danses folk. "Si tu veux bouger, viens avec moi!" Oui, là j'ai bougé!! Je t'assure qu'enchaîner valse, bourrées, polka, klezmer, an dro et cercles circassiens pendant trois heures, ça vaut un entraînement de hand !!
Et puis j'ai intégré le groupe qui animait l'atelier (je te ferais un autre billet là-dessus). J'ai découvert les apéros-concerts, les bals folks, le festival des Luthiers de Saint-Chartier, les planchers de Gennetines.
Et là j'ai pris le meilleur pied que puisse, à mon sens, prendre un musicien : j'ai joué pour faire danser les gens. J'ai sué jusqu'à ma dernière goutte d'eau dans des tarentelles effrénées, j'ai chuchoté du bout des doigts des mazurkas langoureuses à des centaines de couples amoureux. J'ai appris à improviser, à tester des choses, à jouer en ayant un peu trop bu (et souvent trop mangé!)...
Comme je te le disais, depuis mes treize ans, après l'obtention de mon diplôme de fin de premier cycle musical, ma récompense est à mes côtés. C'est une Buffet Crampon, achetée d'occase. Elle est loin d'être parfaite, certaines clés ne passent plus très bien, et elle n'a pas le son idéal.
Mais elle est mienne, elle est devenu une sorte de prolongement de moi. Elle voyage avec moi, a eu chaud avec moi sur les festoches, dans le métro, s'est gelée avec moi dans les églises ou des vieux moulins. Elle a vécu des instants magique avec des accordéonistes italiens, du temps suspendu : qui au bord d'un rivière, qui dans une remorque de tracteur, qui pour la valse sensuelle des jeunes mariés, qui debout sur la table, au fond d'un bus nous ramenant de Bretagne.
Elle a vibré avec moi, elle a remplacé ma voix, m'a fait trembler l'échine et le coeur. A s'en faire péter les tympans, à ne plus sentir son pouce, à avoir les lèvres enflées toute une journée, à mouiller la chemise et à s'en arracher les tripes pour voir les danseurs entrer dans la transe, à leur donner ce que nous avions de meilleur, là, tout au fond...
Elle me pardonne mes écarts. Je l'abandonne parfois dans son étui; elle boude et nous mettons alors longtemps à vraiment nous retrouver. J'ai souvent envie de la tromper; pour le souffle suave d'un accordéon à enlacer, pour les ondes chaleureuses d'une guitare accolée à mon corps, pour les baisers métalliques d'un harmonica, la mélodie fragile d'une flûte...mais c'est vers elle, toujours, que je reviens. Je rêve de la remplacer, pour un modèle plus neuf, plus prestigieux, plus cher aussi. Mais je crois que même le jour où j'aurai trouvé une autre camarade de jeu, je ne pourrai me résoudre à me séparer d'elle..avec tout ce que nous avons vécu ensemble!
Aujourd'hui je joue dans une banda. Encore un nouveau style ! Les capacités de cet instrument me fascinerons toujours : de Mozart à Sydney Bechet, du blues à la klezmer, de l'Iran à la Pologne, de la Roumanie à l'Ecosse via l'Italie et la Bretagne. Du concerto en La à la caravane tzigane en passant par la fanfare des balkans...
J'ai encore beaucoup à apprendre sur elle, avec elle.
Elle allait deux mercredis soir par mois à un atelier de danses folk. "Si tu veux bouger, viens avec moi!" Oui, là j'ai bougé!! Je t'assure qu'enchaîner valse, bourrées, polka, klezmer, an dro et cercles circassiens pendant trois heures, ça vaut un entraînement de hand !!
Et puis j'ai intégré le groupe qui animait l'atelier (je te ferais un autre billet là-dessus). J'ai découvert les apéros-concerts, les bals folks, le festival des Luthiers de Saint-Chartier, les planchers de Gennetines.
Et là j'ai pris le meilleur pied que puisse, à mon sens, prendre un musicien : j'ai joué pour faire danser les gens. J'ai sué jusqu'à ma dernière goutte d'eau dans des tarentelles effrénées, j'ai chuchoté du bout des doigts des mazurkas langoureuses à des centaines de couples amoureux. J'ai appris à improviser, à tester des choses, à jouer en ayant un peu trop bu (et souvent trop mangé!)...
Comme je te le disais, depuis mes treize ans, après l'obtention de mon diplôme de fin de premier cycle musical, ma récompense est à mes côtés. C'est une Buffet Crampon, achetée d'occase. Elle est loin d'être parfaite, certaines clés ne passent plus très bien, et elle n'a pas le son idéal.
Mais elle est mienne, elle est devenu une sorte de prolongement de moi. Elle voyage avec moi, a eu chaud avec moi sur les festoches, dans le métro, s'est gelée avec moi dans les églises ou des vieux moulins. Elle a vécu des instants magique avec des accordéonistes italiens, du temps suspendu : qui au bord d'un rivière, qui dans une remorque de tracteur, qui pour la valse sensuelle des jeunes mariés, qui debout sur la table, au fond d'un bus nous ramenant de Bretagne.
Elle a vibré avec moi, elle a remplacé ma voix, m'a fait trembler l'échine et le coeur. A s'en faire péter les tympans, à ne plus sentir son pouce, à avoir les lèvres enflées toute une journée, à mouiller la chemise et à s'en arracher les tripes pour voir les danseurs entrer dans la transe, à leur donner ce que nous avions de meilleur, là, tout au fond...
Elle me pardonne mes écarts. Je l'abandonne parfois dans son étui; elle boude et nous mettons alors longtemps à vraiment nous retrouver. J'ai souvent envie de la tromper; pour le souffle suave d'un accordéon à enlacer, pour les ondes chaleureuses d'une guitare accolée à mon corps, pour les baisers métalliques d'un harmonica, la mélodie fragile d'une flûte...mais c'est vers elle, toujours, que je reviens. Je rêve de la remplacer, pour un modèle plus neuf, plus prestigieux, plus cher aussi. Mais je crois que même le jour où j'aurai trouvé une autre camarade de jeu, je ne pourrai me résoudre à me séparer d'elle..avec tout ce que nous avons vécu ensemble!
Aujourd'hui je joue dans une banda. Encore un nouveau style ! Les capacités de cet instrument me fascinerons toujours : de Mozart à Sydney Bechet, du blues à la klezmer, de l'Iran à la Pologne, de la Roumanie à l'Ecosse via l'Italie et la Bretagne. Du concerto en La à la caravane tzigane en passant par la fanfare des balkans...
J'ai encore beaucoup à apprendre sur elle, avec elle.
13 commentaires:
Souvent très fusionnels les rapports d'un musicien avec son instrument....
Très joli article...
Saint chartier..de doux souvenirs
d'un été, et un apprentissage de
mazurkas en ne faisant que compter
et regarder ses pieds!
Purée... petite fleur... oué oué oué... ma petite sœur nous a aussi refait les tympans lorsqu'elle était plus jeune... c'est vrai que la clarinette est un instrument polyvalent, classique, moderne, baroque, contemporain...
Cela dit, si tu as du mal à te séparer du "corps" de ta clarinette, tu peux toujours lui faire refaire les lièges et les clés, et t'offrir un nouveau bec... c'est sûr que de l'ébène moderne sonnerait moins rond... ou alors faudrait la "faire", et accumuler des heures et des heures de jeu pour le même résultat !
-->Tilu oh que oui !!
-->Zeste Merciii, attend celui sur les danses folks, c'est dans la même veine ^^ Dis donc c'est pas toi qui joues de la guitare ? Tiens, cadeau : c'est que du bois
-->Meli-mélobienvenu(e?) ici. Aah la la, Saint Chartier en pleine canicule dans le quartier des facteurs de cornemuses...que de souvenirs ! La mazurka, c'est vrai qu'on compte beaucoup au début..mais une fois que tu l'as dans les pattes et que tu sais faire les variations hmmm *nostalgie* D'ailleurs, si tu n'as jamais testé les cours de Godon à gennetines sur les variations mazurka..laisse tomber, il y a beaucoup trop de monde c'en est insupportable, et puis les gens s'y croient dans une agence de speed-dating!
-->Kanou oui, la vieille dame va bientôt retourner faire un tour chez le docteur, y a le liège d'un tenon qui vient de me lâcher..pur l'instant c'est étanche mais je ne voudrais pas que tout se démonte pendant que je joue. Euh, le bec il n'est pas à changer. Pour la révision complète (retamponnage + clés+ ressorts..je vais attendre encore un peu hein! Et puis au prix où nous l'avions payée à l'époque (4500 fr), après trois révisions j'aurai investi plus en pièces et main d'œuvre qu'en instru d'origine..donc je songerai à faire autre chose de mes sous si d'ici-là je joue encore)
Dis-moi, Greenouille... je vais finir par croire que tu es fan de linda lemay!
J'ai hâte de lire "les bals folks"... j'ai un peu de vécu, dans les bals folks (j'ai appris quelques pas, même, eh ouais, eh ouais!!), hâte de voir l'avis d'une grande adepte!!
Ben, ..euh..et c'est grave si je suis fan ? Disons que je l'écoutais beaucoup il y a quelques années et que j'ai vécu un épisode très fort de ma vie sur une de ses chansons, donc oui, j'aime bien (par contre je trouve que ses albums sont de plus en plus sinistres..le dernier y a que du triste!).
Ah ben oui, par chez vous ya des groupes sympas..attends, comment ils s'appellent déjà..euh Twm Twp (à prononcer toum toup), c'est là haut ? Bref, ça viendra le folk..mais ce week-end, là jsuis charrette !
Hey!
Quel bel article!
Quand je l'ai vu j'me suis dit : "wouha, elle nous a écrit un roman aujourd'hui...je le lis ou j'ai trop la flemme?..." et finalement je l'ai lu, pas tte seule, du coup ça m'a poussée aussi à arriver au bout! ;-) Et je ne regrette pas!
La musique, la clarinette, the Konzerto of Mozart, Petite fleur, les bals folk bien...rien de tel qu'une bonne mazurka ou que quelques pas de scottishs pour se mettre en forme! J'attends moi aussi l'article...et une ptite danse? :-)
à plus
ciao
unE fois que tu l'as dans les pattes (la mazurka), c'est justement le moment des crampes!
j'ai beaucoup aimé la scotish et
la bourée sinon. Pour l'ambiance, on nous a conté qu'elle était encore meilleure les années d'avant..on dis souvent ca des années d'avant.Merci pour le conseil, et vive les bals!
Quel bel hommage... un de ces quatre faudrait vraiment qu'on se voit... et qu'on se fasse un petit bœuf' ;)
Okay, les filles, je me charge du site, de la sono (ou pas), de l'hébergement; vous vous amenez vos pieds, vos instrus et votre bonne humeur ! (nan mais un jour ce s'ra à faire quand même!)
Méli : avant... Le folk a connu son essor dans les seventies (retour aux sources, nature, échanges...) alors forcément, ce monde de babs c'était autre chose que "la crise" ^^
ça me rappelle comme je regrette de ne jamais avoir appris à jouer d'un instrument... Surtout quand je vois comme toi et tant d'autres, vous prenez du plaisir à en jouer.
Il n'est jamais trop tard pour bien faire Eurêka ! ;)
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