L'air sent l'iode de la mer toute proche. Il fait nuit mais l'air est encore lourd, étouffant. Ou alors j'ai un poids sur la poitrine. Celui qui me fait le souffle court ces temps-ci. Celui qui provoque cette tension, ce noeud dans mon dos. Encore à la bourre, je m'y suis prise comme un manche, une fois de plus. Je ne dormirai pas, tant pis. Je veux avoir bouclé ce mémoire dimanche.
Dimanche à l'heure de l'apéro.
Parce que quand Baz, Tiber et Emy arriverons je sais que ce poids ne sera plus. Il ne sera alors plus question que de plage (j'aime regarder les filles qui marchent...), de drinks (mojito!), de gros pétards volutes de fumée good-odorantes , du plaisir d'être en vacances ensemble et de ne penser à rien d'autre qu'à l'instant présent pendant quelques jours.
Demain, fini le stage. Trois mois passés si vite. Le temps de rien. Ah si, être prise en école d'ingé à Toulouse, y trouver un appart... Une page qui se tourne et un gros pavé de vie à écrire.
Humeur changeante, hormones capricieuses (ou alors mes ovaires sont en grève; eux aussi en ont assez de travailler plus pour gagner rien). Le break approche. Tenir bon. Trois jour, pas la fin du monde en soi. Et pourtant...
Edit (1h00) : "se coucher tard nuit"
jeudi 31 juillet 2008
Tiens bon la barre
coâ ça?
Alltag des Froschs,
ma Green Corporation,
Vagalam
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